Aucun parking public aux standards requis pour les 50.000 véhicules circulant à Oujda. Et les 70 espaces parkings que la commune urbaine d’Oujda loue, via des appels d’offres non renouvelables, n’arrivent plus à contenir le parc automobile grandissant. Le cas de la médina et de la place Bab Sidi Abdelouahab est parlant. Ali KHARROUBI // l’économiste |
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